Starlight Mints est un de mes groupes adorés depuis la sortie de leur premier cd en 2000 The Dream that stuff was made of. Ils sont 5 «pop-mutants» venus de l’Oklahoma, indissociables depuis leur début dans les années 90, Allen Vest au chant et guitare, Marian Love Nunez au clavier, Andy Nunez à la batterie, Ryan Lindsey, guitare et piano et Javier Gonzalez la basse.
Built on Squares sort en 2003 et révèle leur style moribond et sauvage; avec les titres Black Cat et Jack in the square, à avoir chez soi !
Drowaton sort en 2006 et de manière constante, revoici les Mints avec leur dernier bébé sorti le 21 juillet 2009, Change Remains. Là, on ne frôle pas la perfection, on ne flirte pas avec l’excellence, on est en plein dedans. Starlight Mints est un de ces groupes inclassables marqués par un style particulier. Leur son est unique. J’aime chez eux cette griffe personnelle, que j’appelle pop-electro-fi zzz. Les distensions de cordes qui chavirent les tympans, que ce soit des guitares ou des violons. La voix d’Allen, sarcastique, fraîche et franche bondit et rebondit comme un élastique tendu qui part, fuse et transperce l’air. Il y a dans Change Remains une énergie solide et une vitalité virale qui pourrait éradiquer, à son écoute, les effets néfastes de la mouche tsé-tsé.
L’ensemble des titres est grandiose, ils parviennent avec facilité à faire cohabiter du jungle avec du dance-floor, du pop avec de l’electro-funk. La basse et le trombone sont pénétrants. Les Mints ont un tigre planqué dans les guitares qui n’est pas végétarien, mais diablement psychédélique. Le piano énervé, les guitares pétaradantes qui véhiculent une certaine niak plairont aux amateurs des Raveonettes, par exemple.
(vidéo : extrait de Change Remains, Power Bleed)
starlightmints.com/
Built on Squares sort en 2003 et révèle leur style moribond et sauvage; avec les titres Black Cat et Jack in the square, à avoir chez soi !
Drowaton sort en 2006 et de manière constante, revoici les Mints avec leur dernier bébé sorti le 21 juillet 2009, Change Remains. Là, on ne frôle pas la perfection, on ne flirte pas avec l’excellence, on est en plein dedans. Starlight Mints est un de ces groupes inclassables marqués par un style particulier. Leur son est unique. J’aime chez eux cette griffe personnelle, que j’appelle pop-electro-fi zzz. Les distensions de cordes qui chavirent les tympans, que ce soit des guitares ou des violons. La voix d’Allen, sarcastique, fraîche et franche bondit et rebondit comme un élastique tendu qui part, fuse et transperce l’air. Il y a dans Change Remains une énergie solide et une vitalité virale qui pourrait éradiquer, à son écoute, les effets néfastes de la mouche tsé-tsé.
L’ensemble des titres est grandiose, ils parviennent avec facilité à faire cohabiter du jungle avec du dance-floor, du pop avec de l’electro-funk. La basse et le trombone sont pénétrants. Les Mints ont un tigre planqué dans les guitares qui n’est pas végétarien, mais diablement psychédélique. Le piano énervé, les guitares pétaradantes qui véhiculent une certaine niak plairont aux amateurs des Raveonettes, par exemple.
(vidéo : extrait de Change Remains, Power Bleed)
starlightmints.com/