William Fitzsimmons passe son enfance dans l’Ilinois, avec ses deux parents aveugles, musiciens hors normes. Ils ont su passer cette passion à leur fils en l’initiant très tôt à la guitare, le piano, trombone, à la musique classique, au chant des oiseaux. Son père fabrique même un orgue pour leur maison pleine d’instruments et dont les murs dansent sur les disques de Bob Dylan et Joni Mitchell.
Bercé de tous styles musicaux, Williams Fitzsimmons approfondit ses connaissances techniques tout en achevant ses études en psychiatrie et obtenant son diplôme de thérapeute, mais finit par se remettre à la musique entièrement. Il enregistre ses premières productions chez lui. Le jeune homme a une habilité particulière à aborder les sons et les mélodies, tel un orfèvre, écrit et compose des orchestrations stylées et habitées de pop-folk nourries de ces diverses influences. (vidéo : King of Wishful Thinking)
Bercé de tous styles musicaux, Williams Fitzsimmons approfondit ses connaissances techniques tout en achevant ses études en psychiatrie et obtenant son diplôme de thérapeute, mais finit par se remettre à la musique entièrement. Il enregistre ses premières productions chez lui. Le jeune homme a une habilité particulière à aborder les sons et les mélodies, tel un orfèvre, écrit et compose des orchestrations stylées et habitées de pop-folk nourries de ces diverses influences. (vidéo : King of Wishful Thinking)
Ses deux auto-productions paraissent en 2005 avec Until When We Are Ghosts et l’année suivante Goodnight. Ses compositions acoustiques glissent sur son lyrisme embelli par ses textes et sa voix délicate. Ces deux albums marquent l’attention de Marshall Altman qui lui propose d’enregistrer l’album suivant The Sparrow And The Crow, sorti en 2009.
On peut découvrir à l’écoute de ce superbe album orné de ukulélé, melodica, banjo, mandoline, de 13 titres son don de multi-instrumentiste. Alors que Goodnight était inspiré par le divorce de ses parents durant son adolescence, The Sparrow And The Crow fait écho à son propre et récent divorce, nommant le premier titre After Afterall qui lie la boucle avec le dernier titre Maybe be Alright où il chante “I never wanted you to be alone, I never thought I could break our happy home, I'm so damn sorry for everything I did, But im still that stupid kid”. L’effet de résonnance se retrouve aussi dans l’avant-dernier titre de The Sparrow And The Crow, Goodmorning, aux lignes optimistes, qui répond au nom de l’album précédent Goodnight.
MaybeBeAlrightMP3
Les mélodies font chanter le moineau (sparrow) et la corneille (crow), illustré dans I don’t feel it anymore “We'll fall just like stars being hung by only string, Everything, everything here is gone
No map can direct how to ever make it home”. Ce sont ses parents qui lui ont transmit la passion du chant des oiseaux, il leur en rend hommage dans le titre qui suit We feel alone “Mom and Dad parted ways, We were young and got good grades then, Trees in yards meant to climb,We left home and never looked behind”.
No map can direct how to ever make it home”. Ce sont ses parents qui lui ont transmit la passion du chant des oiseaux, il leur en rend hommage dans le titre qui suit We feel alone “Mom and Dad parted ways, We were young and got good grades then, Trees in yards meant to climb,We left home and never looked behind”.
A travers The Sparrow And The Crow, William Fitzsimmons nous offre son univers personnel, un magnifique et touchant aveu musical fait avec une dextérité technique époustouflante, beaucoup de sensibilité et un don artistique inné.
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