Bruno Merz a une voix et des doigts en or, dotés d'un immense talent. Il fait partie de ces musiciens qui avaient un instrument dans le berceau à la place du conventionnel nounours, son père étant professeur de violoncelle et violon.
Né en Nouvelle-Zélande de parents néerlandais, Bruno joue du piano à 5 ans et à 12 ans, connait chaque note à la perfection du concerto pour violon de Sibelius. Non seulement il a l'oreille fine et alerte mais aussi fort créative. Il écrit des concerto très jeune, puis se saisit de la guitare. Il part pour Auckland après le lycée pour des études d'art pictural. Bruno, là encore se distingue, il devient un dessinateur et illustrateur avec un don inoui. Parallèlement, à 19 ans il écrit Sérénade, le titre qui va le faire connaitre et nous permettre de découvrir son domaine délicat et gracieux.
Né en Nouvelle-Zélande de parents néerlandais, Bruno joue du piano à 5 ans et à 12 ans, connait chaque note à la perfection du concerto pour violon de Sibelius. Non seulement il a l'oreille fine et alerte mais aussi fort créative. Il écrit des concerto très jeune, puis se saisit de la guitare. Il part pour Auckland après le lycée pour des études d'art pictural. Bruno, là encore se distingue, il devient un dessinateur et illustrateur avec un don inoui. Parallèlement, à 19 ans il écrit Sérénade, le titre qui va le faire connaitre et nous permettre de découvrir son domaine délicat et gracieux.
Agé de 22 ans, après un bref séjour en France, il part vivre 8 ans aux Pays-Bas, puis décide de s'installer à Leeds en Angleterre. Ses origines variées, ses séjours, ses connaissances mariées à son parcours d'artiste nourrissent ses compositions.
J'écoute Bruno Merz depuis plus d'un an, ayant accroché de suite avec l'atmosphère de ses chansons. J'y retrouve du Nick Drake, du Kings of Convenience, du Mazzy Star et Iron & Wine qu'il aime écouter, une ambiance pop-symphonique avec de vraies mélodies. Il nous invite en 2006 avec Through Darkness into Day à une immersion dans son monde, décrivant ses expériences et ses découvertes comme dans Night Train, écrite un soir lors d'un séjour en France ou encore dans Nine Sixteen qui parle joliment du thème du départ.
J'écoute Bruno Merz depuis plus d'un an, ayant accroché de suite avec l'atmosphère de ses chansons. J'y retrouve du Nick Drake, du Kings of Convenience, du Mazzy Star et Iron & Wine qu'il aime écouter, une ambiance pop-symphonique avec de vraies mélodies. Il nous invite en 2006 avec Through Darkness into Day à une immersion dans son monde, décrivant ses expériences et ses découvertes comme dans Night Train, écrite un soir lors d'un séjour en France ou encore dans Nine Sixteen qui parle joliment du thème du départ.
Bruno joue de tous les instruments sur cet opus et s'entoure depuis de musiciens pour les concerts et les performances. Il a beau s'échapper, voyager, depuis qu'il s'est trouvé à la croisée de mon chemin, j'attends la suite avec impatience. La nouvelle est que, parallélement à son travail d'illustrateur (cf son blog), il prépare en ce moment l'album Departing from Crowds qui devrait sortir en Septembre prochain. Grand artiste qui garde la tête sur les épaules, il reste discret, intègre et ultra sympathique. Les mois à venir sont prometteurs pour Bruno Merz. En cadeau When you found me, un extrait du prochain album.
brunomerz.blogspot.com