Il était une fois en Norvège, les deux groupes Kings of Convenience et Alexander von Mehren qui forgeaient une jolie renommée aux vikings pop du pays. Mais voilà une troupe de joyeux drilles qui depuis 3 ans gagne en notoriété et fait grand bruit dans tout le royaume scandinave : Kakkmaddafakka.
Les deux frères Axel et Pål Vindenes, leurs deux amis, Jonas Nielsen et Stian Sævig sont des techniciens hors normes et inspirés qui transforment quelques notes en avalanche de sons flamboyants, dansants, swinguants et chantants. En live, ils mettent le feu et brulent les planches. Le public est absorbé par l'énergie des lascars de Kakkmaddafakka, doublée de drôlerie et de simplicité.
Ils enregistrent en ce moment leur deuxième album à Bergen dans les studios de Kato Adland (guitariste dont le groupe est Major Seven and the Minors, également ingénieur son qui travaille avec Sondre Lerche). Leur album sera rock, pop, disco, une fiesta de mélodies avec du violoncelle, des trompettes, du cor, des guitares électriques en cascade à l'image du groupe qui à partir du noyau quartet peut aller jusqu'à douze musiciens sur scène. Ils chantent tous, sautillent, dansent, entrainent, déjà accueillis par de multiples festivals comme le Melt Festival en Allemagne où Erlend Oye (Kings of convenience) les accompagnait.
Ils enchainent une série de concerts cet été aux Pays Bas, Norvège, Allemagne, Angleterre après être passés au Scopitone à Paris en Mars dernier.
Les Kakkmaddafakka telle une formule magique enchantent et méritent une attention particulière.
Ils enchainent une série de concerts cet été aux Pays Bas, Norvège, Allemagne, Angleterre après être passés au Scopitone à Paris en Mars dernier.
Les Kakkmaddafakka telle une formule magique enchantent et méritent une attention particulière.
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